Voilà quelque bonnes raisons pour lesquelles je me confesse :
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Parce que je suis un homme pécheur et que Jésus veux me guérir de mes péchés.
A chaque confession, jésus viens me relever là où je suis tombé. Il me faut indiquer mes chutes. De la même manière que je dis au médecin où je souffre et comment je souffre afin d’être guéri, de la même manière je dis mes blessures, mes péchés.
Se confesser est un chemin de guérison.
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Parce que je ne suis ni meilleur ni moins bon que les autres, aux yeux de Dieu je suis son fils qui s’est égaré et qu’il attend.
La comparaison fait partie de la tentation qui me fait retarder la confession. « Après tout, je ne suis pas pire que les autres », «De toute façon ! C’est rien ! Les autres le font », « C’est si grave, je suis nul, je suis impardonnable », « Cela ne sert à rien d’aller à confesse, j’en suis sûr, je vais recommencer »
Se confesser est une nouvelle adoption.
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Parce que Dieu m’attend.
Vais-je le fait patienter indéfiniment ?
« A quiconque vous remettrez les péchés, ils sont remis » (Jn 20, 23)
Dieu offre sa Miséricorde par la médiation du prêtre. Il l’a voulu ainsi.
Se confesser est un devoir vis-à-vis de Dieu.
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Parce que mes frères en ont besoin.
Le pardon que je reçois de mes péchés me redonne ma place dans la communauté chrétienne et humaine. Je peux aller de nouveau recevoir le Corps du Christ et donc faire grandir le Règne de Dieu.
Se confesser est un devoir vis-à-vis des autres.
Père David Dugue, CR